Aucun texte alternatif disponible.

Confirmer?

Followers (2)

...
nelle et vie domestique

La femme est un élément fondamental dans la société et la famille . On voit la femme à coté de l'homme . Comme nous savons que chaque famille se compose d'un père etil manque le d' une mère , chacun d'entre eux a des droits et des devoirs . Ils doivent s'entraider pour offrir une vie heureuse aux leurs enfants . Mais , la femme pourrait travailler. Les femmes pourraient exercer une profession et dans ce cas, leur serait-il possible de concilier leur vie professionnelle et domestique

Pour la femme , le travail est un moyen d'être autonome financièrement ,que ce soit pour ses dépenses personnelles. Lorsque elle travaille , elle peut conserver toutes ses responsabilités en même temps , ses rôles de mère et d'épouse doivent rester intacts .On peut se rendre compte que beaucoup de femmes font face à de nombreuses difficultés. Elles subissent une pression de la part de leur famille ou de leur entourage, d'autant plus si elles travaillent en ayant des enfants

De nos jours , on a vu, par exemple, que les femmes occidentales travaillent dans tous les secteurs et tous les domaines . Par comparaison le travail de la femme dans notre société reste une question ouverte , la femme : doit-elle travailler ou non? Si oui , dans quels domaines ? dans quelles conditions ? et comment concilier le travail avec la vie de la famille étant donnée le role (accent) de la femme .Beaucoup de gens ont pensé et pensent encore que la femme doit rester à la maison pour consacrer ses activités à son mari et ses enfants

Pendant longtemps , la femme était esclave mais aujourd'hui elle est se libère de ses chaines

Je pense qu'on commence à donner de l'importance au rôle de la femme
En choisissant un travail , elle doit aussi assumer un échange des relations professionnelles et le plus souvent , elle doit etre plus fort (féminin) moralement et physiquement afin que son activité reste conenable

Dans notre société , on voit que la femme choisit souvent des professions moins techniques et optent pour des matières dans l'éducation, la santé ou les services

actuellement , la vie devient plus difficile que le passé , on a besoin beaucoup d'argent pour que la vie soit plus disttinguée ??? , c'est pourquoi le travail de la femme sera necéssaire . bien que beaucoup de gens n'acceptent pas encore ce travail-là , les femmes tentent de
convaincre les hommes


Sujet : la femme n’est faite que pour prendre soin de sa famille. La femme était toujours traitée comme un être plus inférieur car la société était patriarcale, c’est l’homme qui fait les lois. C’est pour ce la que certains pensent que la femme n’a pas le droit de sortir pour travailler car elle n’est faite que pour prendre soin de sa famille. Mais est il vrai que le seul rôle de la femme est de s’occupée de sa famille ? Ceux qui pensent que la femme doit être au foyer, considèrent que son rôle principale est d’élever les enfants, s’occuper de son mari, faire le ménage, préparer la nourriture et faire les courses par suite rester à la Lycée Tahar Sfar- Hélali Soumaya - Module d’apprentissage n°3 – 2ème sciences maison car elle est la dispos itère de l’ensemble des valeurs morals et le modèle de construite qu’elle inculquer. Donc, il est vrai que ce rôle qui incombe à la femme est noble à conditions de ne pas la considérer comme un objet de décoration. Mais d’autres affirment que la sortie de la femme pour travailler est nécessaire. Tout d’abord, elle est un être humain qui doit se rendre utile dans la société, travailler pour elle est un facteur d’équilibre psychologique. En suite, le travail de la femme est nécessaire sans ce la il y aurait une paralysie dans certains secteurs (ex : les usines de confections…).Et enfin, elle contribue au coté de l’homme à édifier la société pour construire un monde meilleur. Quant à moi, j’ai l’intime conviction que la présence de la femme à coté de l’homme dans la société moderne est nécessaire à condition qu’elle ne lèse pas son rôle de foyer et qu’elle ait tous ses droits dans son bureau.

II. Langue : Vocabulaire Remplace les adjectifs écrits en gras par leurs antonymes : 0.5 PT Cette femme est libre………………….• Usbek était un homme compréhensif……………………….• Syntaxe 1/ Remplis le tableau suivant : 1.5 PTS Phrase Type Forme Attitude du locuteur (fausse question, ironie, aveu, colère, indignation, étonnement, ….) « Oui, je t’ai trompé…plaisirs » Comment as-tu pensé…caprices ? 2/ Transforme le discours direct en un discours indirect et fais les modifications nécessaires : 3PTS Roxane a dit : « Hier, avant de penser au suicide, j’ai hésité car tu étais indigne de respect et tu te permettais de piétiner ma féminité. Tu seras, après la découverte de cette infidélité, profondément accablé, mais j’aurai la conscience tranquille parce que je t’ai perfidement défié. » Discours indirect : ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... 3/ Remplace les pointillés par les expressions d’opposition correspondantes : 1 PT Roxane a pu vivre libre…………… …..son emprisonnement dans le sérail. Cette femme a eu l’audace de trahir son mari …………………….la société dont elle est issue soit intolérante. III. Essai : 8PTS La femme doit garder son foyer, veiller à la santé de ses enfants et mettre toute son énergie au service de son mari. Partages-tu cette opinion? Rédige un récit argumentatif dans lequel tu exprimes ton point de vue en te référant à des exemples précis. ……









…………………………………………………………………………………………… ……............................................................................................................................................ .................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................





Marier sa fille : il n’y a pas de plus grande obsession pour un père indien. Amrita, la fille du tireur de rickshaw, n’avait pourtant que seize ans. Si les cruelles années sur les trottoirs et dans les bidonvilles n’avaient pas altéré* sa fraicheur, le sérieux de son regard disait qu’elle n’était plus une enfant depuis longtemps. Le rôle de fille est ingrat dans la société indienne. Aucune charge domestique, aucune corvée* ne lui est épargnée. Debout avant les autres, couchée la dernière, elle mène une vie d’esclave. Maman avant d’être mère, Amrita avait élevé ses frères. Elle avait guidée leurs première pas, cherché leur nourriture dans les ordures* des hôtels, cousu les guenilles* qui leur servaient de vêtements, massé leurs membres décharnés, organisé leurs jeux, épouillé leurs têtes. Dès son plus jeune âge, sa mère l’avait inlassablement préparée au seul grand événement de son existence, celui qui, durant toute une journée, ferait de cette enfant de misère le point de mire* et l’objet de toutes les conversations du petit monde des pauvres qui l’entourait : son mariage. Toute son éducation tendait vers ce but. Les campements sur les trottoirs, la cahute*de planches et de cartons de leur premier bidonville avaient été pour elle autant de centres d’apprentissage où il lui avait été enseigné tout ce que doit savoir une mère de famille modèle et une bonne épouse. Comme tous les parents indiens, les Pal étaient conscients qu’ils seraient un jour jugés sur la façon dont leur fille se comporterait dans la maison de son mari. Et comme sa conduite ne devait être que soumission, Amrita avait été entrainée dès son plus jeune âge à renoncer à ses gouts et à ses jeux pour servir ses parents et ses frères, ce qu’elle avait toujours fait avec le sourire. Depuis sa toute petite enfance, elle avait accepté la conception* indienne du mariage. Hasari dira un jour à Lambert : « Ma fille n’est pas à moi. Elle m’a seulement été prêtée par Dieu jusqu’à son mariage. Elle appartient au garçon qui sera son mari. » Dominique Lapierre, La cité de la joie Altéré : changé Corvée : dur travail Guenilles : vieux vêtements Point de mire : objet de tous les regards Cahute : cabane Conception : façon de voir Compréhension (6pts) 1) À quelle classe sociale appartient la famille d’Amrita ? Justifiez votre réponse par le champ lexical approprié. 2) Amrita a reçu une éducation sévère ? Dans quel but la famille a-t-elle choisi ce genre d’éducation ? 3) Quelles sont les principales tâches qu’Amrita doit accomplir pour sa famille ? citez-en deux 4) Pour décrire les conditions de vie d’Amrita l’auteur a employé un vocabulaire. Lequel ? Justifiez votre réponse par des éléments précis. ………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………



.................................................................................................................................................... ...... Marier sa fille : il n’y a pas de plus grande obsession pour un père indien. Amrita, la fille du tireur de rickshaw, n’avait pourtant que seize ans. Si les cruelles années sur les trottoirs et dans les bidonvilles n’avaient pas altéré* sa fraicheur, le sérieux de son regard disait qu’elle n’était plus une enfant depuis longtemps. Le rôle de fille est ingrat dans la société indienne. Aucune charge domestique, aucune corvée* ne lui est épargnée. Debout avant les autres, couchée la dernière, elle mène une vie d’esclave. Maman avant d’être mère, Amrita avait élevé ses frères. Elle avait guidée leurs première pas, cherché leur nourriture dans les ordures* des hôtels, cousu les guenilles* qui leur servaient de vêtements, massé leurs membres décharnés, organisé leurs jeux, épouillé leurs têtes. Dès son plus jeune âge, sa mère l’avait inlassablement préparée au seul grand événement de son existence, celui qui, durant toute une journée, ferait de cette enfant de misère le point de mire* et l’objet de toutes les conversations du petit monde des pauvres qui l’entourait : son mariage. Toute son éducation tendait vers ce but. Les campements sur les trottoirs, la cahute*de planches et de cartons de leur premier bidonville avaient été pour elle autant de centres d’apprentissage où il lui avait été enseigné tout ce que doit savoir une mère de famille modèle et une bonne épouse. Comme tous les parents indiens, les Pal étaient conscients qu’ils seraient un jour jugés sur la façon dont leur fille se comporterait dans la maison de son mari. Et comme sa conduite ne devait être que soumission, Amrita avait été entrainée dès son plus jeune âge à renoncer à ses gouts et à ses jeux pour servir ses parents et ses frères, ce qu’elle avait toujours fait avec le sourire. Depuis sa toute petite enfance, elle avait accepté la conception* indienne du mariage. Hasari dira un jour à Lambert : « Ma fille n’est pas à moi. Elle m’a seulement été prêtée par Dieu jusqu’à son mariage. Elle appartient au garçon qui sera son mari. » Dominique Lapierre, La cité de la joie Altéré : changé Corvée : dur travail Guenilles : vieux vêtements Point de mire : objet de tous les regards Cahute : cabane Conception : façon de voir Compréhension (6pts) 1) À quelle classe sociale appartient la famille d’Amrita ? Justifiez votre réponse par le champ lexical approprié. 2) Amrita a reçu une éducation sévère ? Dans quel but la famille a-t-elle choisi ce genre d’éducation ? 3) Quelles sont les principales tâches qu’Amrita doit accomplir pour sa famille ? citez-en deux 4) Pour décrire les conditions de vie d’Amrita l’auteur a employé un vocabulaire. Lequel ? Justifiez votre réponse par des éléments précis. …………………………………………………………………………………………………………………………………………
0 Commentaires
J'aime
   Copier lien
Donner
...
nelle et vie domestique

La femme est un élément fondamental dans la société et la famille . On voit la femme à coté de l'homme . Comme nous savons que chaque famille se compose d'un père etil manque le d' une mère , chacun d'entre eux a des droits et des devoirs . Ils doivent s'entraider pour offrir une vie heureuse aux leurs enfants . Mais , la femme pourrait travailler. Les femmes pourraient exercer une profession et dans ce cas, leur serait-il possible de concilier leur vie professionnelle et domestique

Pour la femme , le travail est un moyen d'être autonome financièrement ,que ce soit pour ses dépenses personnelles. Lorsque elle travaille , elle peut conserver toutes ses responsabilités en même temps , ses rôles de mère et d'épouse doivent rester intacts .On peut se rendreAfficher la suite compte que beaucoup de femmes font face à de nombreuses difficultés. Elles subissent une pression de la part de leur famille ou de leur entourage, d'autant plus si elles travaillent en ayant des enfants

De nos jours , on a vu, par exemple, que les femmes occidentales travaillent dans tous les secteurs et tous les domaines . Par comparaison le travail de la femme dans notre société reste une question ouverte , la femme : doit-elle travailler ou non? Si oui , dans quels domaines ? dans quelles conditions ? et comment concilier le travail avec la vie de la famille étant donnée le role (accent) de la femme .Beaucoup de gens ont pensé et pensent encore que la femme doit rester à la maison pour consacrer ses activités à son mari et ses enfants

Pendant longtemps , la femme était esclave mais aujourd'hui elle est se libère de ses chaines

Je pense qu'on commence à donner de l'importance au rôle de la femme
En choisissant un travail , elle doit aussi assumer un échange des relations professionnelles et le plus souvent , elle doit etre plus fort (féminin) moralement et physiquement afin que son activité reste conenable

Dans notre société , on voit que la femme choisit souvent des professions moins techniques et optent pour des matières dans l'éducation, la santé ou les services

actuellement , la vie devient plus difficile que le passé , on a besoin beaucoup d'argent pour que la vie soit plus disttinguée ??? , c'est pourquoi le travail de la femme sera necéssaire . bien que beaucoup de gens n'acceptent pas encore ce travail-là , les femmes tentent de
convaincre les hommes


Sujet : la femme n’est faite que pour prendre soin de sa famille. La femme était toujours traitée comme un être plus inférieur car la société était patriarcale, c’est l’homme qui fait les lois. C’est pour ce la que certains pensent que la femme n’a pas le droit de sortir pour travailler car elle n’est faite que pour prendre soin de sa famille. Mais est il vrai que le seul rôle de la femme est de s’occupée de sa famille ? Ceux qui pensent que la femme doit être au foyer, considèrent que son rôle principale est d’élever les enfants, s’occuper de son mari, faire le ménage, préparer la nourriture et faire les courses par suite rester à la Lycée Tahar Sfar- Hélali Soumaya - Module d’apprentissage n°3 – 2ème sciences maison car elle est la dispos itère de l’ensemble des valeurs morals et le modèle de construite qu’elle inculquer. Donc, il est vrai que ce rôle qui incombe à la femme est noble à conditions de ne pas la considérer comme un objet de décoration. Mais d’autres affirment que la sortie de la femme pour travailler est nécessaire. Tout d’abord, elle est un être humain qui doit se rendre utile dans la société, travailler pour elle est un facteur d’équilibre psychologique. En suite, le travail de la femme est nécessaire sans ce la il y aurait une paralysie dans certains secteurs (ex : les usines de confections…).Et enfin, elle contribue au coté de l’homme à édifier la société pour construire un monde meilleur. Quant à moi, j’ai l’intime conviction que la présence de la femme à coté de l’homme dans la société moderne est nécessaire à condition qu’elle ne lèse pas son rôle de foyer et qu’elle ait tous ses droits dans son bureau.

II. Langue : Vocabulaire Remplace les adjectifs écrits en gras par leurs antonymes : 0.5 PT Cette femme est libre………………….• Usbek était un homme compréhensif……………………….• Syntaxe 1/ Remplis le tableau suivant : 1.5 PTS Phrase Type Forme Attitude du locuteur (fausse question, ironie, aveu, colère, indignation, étonnement, ….) « Oui, je t’ai trompé…plaisirs » Comment as-tu pensé…caprices ? 2/ Transforme le discours direct en un discours indirect et fais les modifications nécessaires : 3PTS Roxane a dit : « Hier, avant de penser au suicide, j’ai hésité car tu étais indigne de respect et tu te permettais de piétiner ma féminité. Tu seras, après la découverte de cette infidélité, profondément accablé, mais j’aurai la conscience tranquille parce que je t’ai perfidement défié. » Discours indirect : ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... 3/ Remplace les pointillés par les expressions d’opposition correspondantes : 1 PT Roxane a pu vivre libre…………… …..son emprisonnement dans le sérail. Cette femme a eu l’audace de trahir son mari …………………….la société dont elle est issue soit intolérante. III. Essai : 8PTS La femme doit garder son foyer, veiller à la santé de ses enfants et mettre toute son énergie au service de son mari. Partages-tu cette opinion? Rédige un récit argumentatif dans lequel tu exprimes ton point de vue en te référant à des exemples précis. ……









…………………………………………………………………………………………… ……............................................................................................................................................ .................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................





Marier sa fille : il n’y a pas de plus grande obsession pour un père indien. Amrita, la fille du tireur de rickshaw, n’avait pourtant que seize ans. Si les cruelles années sur les trottoirs et dans les bidonvilles n’avaient pas altéré* sa fraicheur, le sérieux de son regard disait qu’elle n’était plus une enfant depuis longtemps. Le rôle de fille est ingrat dans la société indienne. Aucune charge domestique, aucune corvée* ne lui est épargnée. Debout avant les autres, couchée la dernière, elle mène une vie d’esclave. Maman avant d’être mère, Amrita avait élevé ses frères. Elle avait guidée leurs première pas, cherché leur nourriture dans les ordures* des hôtels, cousu les guenilles* qui leur servaient de vêtements, massé leurs membres décharnés, organisé leurs jeux, épouillé leurs têtes. Dès son plus jeune âge, sa mère l’avait inlassablement préparée au seul grand événement de son existence, celui qui, durant toute une journée, ferait de cette enfant de misère le point de mire* et l’objet de toutes les conversations du petit monde des pauvres qui l’entourait : son mariage. Toute son éducation tendait vers ce but. Les campements sur les trottoirs, la cahute*de planches et de cartons de leur premier bidonville avaient été pour elle autant de centres d’apprentissage où il lui avait été enseigné tout ce que doit savoir une mère de famille modèle et une bonne épouse. Comme tous les parents indiens, les Pal étaient conscients qu’ils seraient un jour jugés sur la façon dont leur fille se comporterait dans la maison de son mari. Et comme sa conduite ne devait être que soumission, Amrita avait été entrainée dès son plus jeune âge à renoncer à ses gouts et à ses jeux pour servir ses parents et ses frères, ce qu’elle avait toujours fait avec le sourire. Depuis sa toute petite enfance, elle avait accepté la conception* indienne du mariage. Hasari dira un jour à Lambert : « Ma fille n’est pas à moi. Elle m’a seulement été prêtée par Dieu jusqu’à son mariage. Elle appartient au garçon qui sera son mari. » Dominique Lapierre, La cité de la joie Altéré : changé Corvée : dur travail Guenilles : vieux vêtements Point de mire : objet de tous les regards Cahute : cabane Conception : façon de voir Compréhension (6pts) 1) À quelle classe sociale appartient la famille d’Amrita ? Justifiez votre réponse par le champ lexical approprié. 2) Amrita a reçu une éducation sévère ? Dans quel but la famille a-t-elle choisi ce genre d’éducation ? 3) Quelles sont les principales tâches qu’Amrita doit accomplir pour sa famille ? citez-en deux 4) Pour décrire les conditions de vie d’Amrita l’auteur a employé un vocabulaire. Lequel ? Justifiez votre réponse par des éléments précis. ………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………



.................................................................................................................................................... ...... Marier sa fille : il n’y a pas de plus grande obsession pour un père indien. Amrita, la fille du tireur de rickshaw, n’avait pourtant que seize ans. Si les cruelles années sur les trottoirs et dans les bidonvilles n’avaient pas altéré* sa fraicheur, le sérieux de son regard disait qu’elle n’était plus une enfant depuis longtemps. Le rôle de fille est ingrat dans la société indienne. Aucune charge domestique, aucune corvée* ne lui est épargnée. Debout avant les autres, couchée la dernière, elle mène une vie d’esclave. Maman avant d’être mère, Amrita avait élevé ses frères. Elle avait guidée leurs première pas, cherché leur nourriture dans les ordures* des hôtels, cousu les guenilles* qui leur servaient de vêtements, massé leurs membres décharnés, organisé leurs jeux, épouillé leurs têtes. Dès son plus jeune âge, sa mère l’avait inlassablement préparée au seul grand événement de son existence, celui qui, durant toute une journée, ferait de cette enfant de misère le point de mire* et l’objet de toutes les conversations du petit monde des pauvres qui l’entourait : son mariage. Toute son éducation tendait vers ce but. Les campements sur les trottoirs, la cahute*de planches et de cartons de leur premier bidonville avaient été pour elle autant de centres d’apprentissage où il lui avait été enseigné tout ce que doit savoir une mère de famille modèle et une bonne épouse. Comme tous les parents indiens, les Pal étaient conscients qu’ils seraient un jour jugés sur la façon dont leur fille se comporterait dans la maison de son mari. Et comme sa conduite ne devait être que soumission, Amrita avait été entrainée dès son plus jeune âge à renoncer à ses gouts et à ses jeux pour servir ses parents et ses frères, ce qu’elle avait toujours fait avec le sourire. Depuis sa toute petite enfance, elle avait accepté la conception* indienne du mariage. Hasari dira un jour à Lambert : « Ma fille n’est pas à moi. Elle m’a seulement été prêtée par Dieu jusqu’à son mariage. Elle appartient au garçon qui sera son mari. » Dominique Lapierre, La cité de la joie Altéré : changé Corvée : dur travail Guenilles : vieux vêtements Point de mire : objet de tous les regards Cahute : cabane Conception : façon de voir Compréhension (6pts) 1) À quelle classe sociale appartient la famille d’Amrita ? Justifiez votre réponse par le champ lexical approprié. 2) Amrita a reçu une éducation sévère ? Dans quel but la famille a-t-elle choisi ce genre d’éducation ? 3) Quelles sont les principales tâches qu’Amrita doit accomplir pour sa famille ? citez-en deux 4) Pour décrire les conditions de vie d’Amrita l’auteur a employé un vocabulaire. Lequel ? Justifiez votre réponse par des éléments précis. …………………………………………………………………………………………………………………………………………
0 Commentaires
J'aime
   Copier lien
Donner
...
nelle et vie domestique

La femme est un élément fondamental dans la société et la famille . On voit la femme à coté de l'homme . Comme nous savons que chaque famille se compose d'un père etil manque le d' une mère , chacun d'entre eux a des droits et des devoirs . Ils doivent s'entraider pour offrir une vie heureuse aux leurs enfants . Mais , la femme pourrait travailler. Les femmes pourraient exercer une profession et dans ce cas, leur serait-il possible de concilier leur vie professionnelle et domestique

Pour la femme , le travail est un moyen d'être autonome financièrement ,que ce soit pour ses dépenses personnelles. Lorsque elle travaille , elle peut conserver toutes ses responsabilités en même temps , ses rôles de mère et d'épouse doivent rester intacts .On peut se rendre compte que beaucoup de femmes font face à de nombreuses difficultés. Elles subissent une pression de la part de leur famille ou de leur entourage, d'autant plus si elles travaillent en ayant des enfants

De nos jours , on a vu, par exemple, que les femmes occidentales travaillent dans tous les secteurs et tous les domaines . Par comparaison le travail de la femme dans notre société reste une question ouverte , la femme : doit-elle travailler ou non? Si oui , dans quels domaines ? dans quelles conditions ? et comment concilier le travail avec la vie de la famille étant donnée le role (accent) de la femme .Beaucoup de gens ont pensé et pensent encore que la femme doit rester à la maison pour consacrer ses activités à son mari et ses enfants

Pendant longtemps , la femme était esclave mais aujourd'hui elle est se libère de ses chaines

Je pense qu'on commence à donner de l'importance au rôle de la femme
En choisissant un travail , elle doit aussi assumer un échange des relations professionnelles et le plus souvent , elle doit etre plus fort (féminin) moralement et physiquement afin que son activité reste conenable

Dans notre société , on voit que la femme choisit souvent des professions moins techniques et optent pour des matières dans l'éducation, la santé ou les services

actuellement , la vie devient plus difficile que le passé , on a besoin beaucoup d'argent pour que la vie soit plus disttinguée ??? , c'est pourquoi le travail de la femme sera necéssaire . bien que beaucoup de gens n'acceptent pas encore ce travail-là , les femmes tentent de
convaincre les hommes


Sujet : la femme n’est faite que pour prendre soin de sa famille. La femme était toujours traitée comme un être plus inférieur car la société était patriarcale, c’est l’homme qui fait les lois. C’est pour ce la que certains pensent que la femme n’a pas le droit de sortir pour travailler car elle n’est faite que pour prendre soin de sa famille. Mais est il vrai que le seul rôle de la femme est de s’occupée de sa famille ? Ceux qui pensent que la femme doit être au foyer, considèrent que son rôle principale est d’élever les enfants, s’occuper de son mari, faire le ménage, préparer la nourriture et faire les courses par suite rester à la Lycée Tahar Sfar- Hélali Soumaya - Module d’apprentissage n°3 – 2ème sciences maison car elle est la dispos itère de l’ensemble des valeurs morals et le modèle de construite qu’elle inculquer. Donc, il est vrai que ce rôle qui incombe à la femme est noble à conditions de ne pas la considérer comme un objet de décoration. Mais d’autres affirment que la sortie de la femme pour travailler est nécessaire. Tout d’abord, elle est un être humain qui doit se rendre utile dans la société, travailler pour elle est un facteur d’équilibre psychologique. En suite, le travail de la femme est nécessaire sans ce la il y aurait une paralysie dans certains secteurs (ex : les usines de confections…).Et enfin, elle contribue au coté de l’homme à édifier la société pour construire un monde meilleur. Quant à moi, j’ai l’intime conviction que la présence de la femme à coté de l’homme dans la société moderne est nécessaire à condition qu’elle ne lèse pas son rôle de foyer et qu’elle ait tous ses droits dans son bureau.

II. Langue : Vocabulaire Remplace les adjectifs écrits en gras par leurs antonymes : 0.5 PT Cette femme est libre………………….• Usbek était un homme compréhensif……………………….• Syntaxe 1/ Remplis le tableau suivant : 1.5 PTS Phrase Type Forme Attitude du locuteur (fausse question, ironie, aveu, colère, indignation, étonnement, ….) « Oui, je t’ai trompé…plaisirs » Comment as-tu pensé…caprices ? 2/ Transforme le discours direct en un discours indirect et fais les modifications nécessaires : 3PTS Roxane a dit : « Hier, avant de penser au suicide, j’ai hésité car tu étais indigne de respect et tu te permettais de piétiner ma féminité. Tu seras, après la découverte de cette infidélité, profondément accablé, mais j’aurai la conscience tranquille parce que je t’ai perfidement défié. » Discours indirect : ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................... 3/ Remplace les pointillés par les expressions d’opposition correspondantes : 1 PT Roxane a pu vivre libre…………… …..son emprisonnement dans le sérail. Cette femme a eu l’audace de trahir son mari …………………….la société dont elle est issue soit intolérante. III. Essai : 8PTS La femme doit garder son foyer, veiller à la santé de ses enfants et mettre toute son énergie au service de son mari. Partages-tu cette opinion? Rédige un récit argumentatif dans lequel tu exprimes ton point de vue en te référant à des exemples précis. ……









…………………………………………………………………………………………… ……............................................................................................................................................ .................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................





Marier sa fille : il n’y a pas de plus grande obsession pour un père indien. Amrita, la fille du tireur de rickshaw, n’avait pourtant que seize ans. Si les cruelles années sur les trottoirs et dans les bidonvilles n’avaient pas altéré* sa fraicheur, le sérieux de son regard disait qu’elle n’était plus une enfant depuis longtemps. Le rôle de fille est ingrat dans la société indienne. Aucune charge domestique, aucune corvée* ne lui est épargnée. Debout avant les autres, couchée la dernière, elle mène une vie d’esclave. Maman avant d’être mère, Amrita avait élevé ses frères. Elle avait guidée leurs première pas, cherché leur nourriture dans les ordures* des hôtels, cousu les guenilles* qui leur servaient de vêtements, massé leurs membres décharnés, organisé leurs jeux, épouillé leurs têtes. Dès son plus jeune âge, sa mère l’avait inlassablement préparée au seul grand événement de son existence, celui qui, durant toute une journée, ferait de cette enfant de misère le point de mire* et l’objet de toutes les conversations du petit monde des pauvres qui l’entourait : son mariage. Toute son éducation tendait vers ce but. Les campements sur les trottoirs, la cahute*de planches et de cartons de leur premier bidonville avaient été pour elle autant de centres d’apprentissage où il lui avait été enseigné tout ce que doit savoir une mère de famille modèle et une bonne épouse. Comme tous les parents indiens, les Pal étaient conscients qu’ils seraient un jour jugés sur la façon dont leur fille se comporterait dans la maison de son mari. Et comme sa conduite ne devait être que soumission, Amrita avait été entrainée dès son plus jeune âge à renoncer à ses gouts et à ses jeux pour servir ses parents et ses frères, ce qu’elle avait toujours fait avec le sourire. Depuis sa toute petite enfance, elle avait accepté la conception* indienne du mariage. Hasari dira un jour à Lambert : « Ma fille n’est pas à moi. Elle m’a seulement été prêtée par Dieu jusqu’à son mariage. Elle appartient au garçon qui sera son mari. » Dominique Lapierre, La cité de la joie Altéré : changé Corvée : dur travail Guenilles : vieux vêtements Point de mire : objet de tous les regards Cahute : cabane Conception : façon de voir Compréhension (6pts) 1) À quelle classe sociale appartient la famille d’Amrita ? Justifiez votre réponse par le champ lexical approprié. 2) Amrita a reçu une éducation sévère ? Dans quel but la famille a-t-elle choisi ce genre d’éducation ? 3) Quelles sont les principales tâches qu’Amrita doit accomplir pour sa famille ? citez-en deux 4) Pour décrire les conditions de vie d’Amrita l’auteur a employé un vocabulaire. Lequel ? Justifiez votre réponse par des éléments précis. ………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………



.................................................................................................................................................... ...... Marier sa fille : il n’y a pas de plus grande obsession pour un père indien. Amrita, la fille du tireur de rickshaw, n’avait pourtant que seize ans. Si les cruelles années sur les trottoirs et dans les bidonvilles n’avaient pas altéré* sa fraicheur, le sérieux de son regard disait qu’elle n’était plus une enfant depuis longtemps. Le rôle de fille est ingrat dans la société indienne. Aucune charge domestique, aucune corvée* ne lui est épargnée. Debout avant les autres, couchée la dernière, elle mène une vie d’esclave. Maman avant d’être mère, Amrita avait élevé ses frères. Elle avait guidée leurs première pas, cherché leur nourriture dans les ordures* des hôtels, cousu les guenilles* qui leur servaient de vêtements, massé leurs membres décharnés, organisé leurs jeux, épouillé leurs têtes. Dès son plus jeune âge, sa mère l’avait inlassablement préparée au seul grand événement de son existence, celui qui, durant toute une journée, ferait de cette enfant de misère le point de mire* et l’objet de toutes les conversations du petit monde des pauvres qui l’entourait : son mariage. Toute son éducation tendait vers ce but. Les campements sur les trottoirs, la cahute*de planches et de cartons de leur premier bidonville avaient été pour elle autant de centres d’apprentissage où il lui avait été enseigné tout ce que doit savoir une mère de famille modèle et une bonne épouse. Comme tous les parents indiens, les Pal étaient conscients qu’ils seraient un jour jugés sur la façon dont leur fille se comporterait dans la maison de son mari. Et comme sa conduite ne devait être que soumission, Amrita avait été entrainée dès son plus jeune âge à renoncer à ses gouts et à ses jeux pour servir ses parents et ses frères, ce qu’elle avait toujours fait avec le sourire. Depuis sa toute petite enfance, elle avait accepté la conception* indienne du mariage. Hasari dira un jour à Lambert : « Ma fille n’est pas à moi. Elle m’a seulement été prêtée par Dieu jusqu’à son mariage. Elle appartient au garçon qui sera son mari. » Dominique Lapierre, La cité de la joie Altéré : changé Corvée : dur travail Guenilles : vieux vêtements Point de mire : objet de tous les regards Cahute : cabane Conception : façon de voir Compréhension (6pts) 1) À quelle classe sociale appartient la famille d’Amrita ? Justifiez votre réponse par le champ lexical approprié. 2) Amrita a reçu une éducation sévère ? Dans quel but la famille a-t-elle choisi ce genre d’éducation ? 3) Quelles sont les principales tâches qu’Amrita doit accomplir pour sa famille ? citez-en deux 4) Pour décrire les conditions de vie d’Amrita l’auteur a employé un vocabulaire. Lequel ? Justifiez votre réponse par des éléments précis. …………………………………………………………………………………………………………………………………………
0 Commentaires
J'aime
   Copier lien
Donner